3 juin 2008
pour tout mais amis
Sur mon minois coule une larme
Un chagrin, un bonheur, nul ne le sait
Elle suscite bien des question et désarme
Tous ceux qui soi-disant me connaissaient
Toujours joyeuse et sans mélancolie
Jamais ce mal être ne paraissait
Il ne pouvait leur venir à l'esprit
Tout cet émoi enfoui, que je cachais
Par nécéssité et par une envie
Le coeur lourd, je leur ai tout avoué
Se reflètait sur leurs visages surpris
Toute la peine que j'avais endurée
Et depuis ce jour là, j'ai bien compris
Le besoin de partager même l'effroi
J'avais auprès de moi de vrais amis
M'épaulant dans la douleur et la joie.